Voici quelques pistes du sens symbolique qu’utilise l’inconscient pour s’exprimer.
Niveau émotionnel :
- Frontale : Difficulté à « faire front ». Difficulté de la personnalité (front) par rapport à l’espace ou aux échanges (air). Blocage avec colère envers une situation, envers autrui et/ou envers soi-même, quand l’affirmation de la personnalité est en jeu. En difficulté ou en échec dans une situation d’autorité, une colère nous « sort par le nez » (le pus ou l’émotion qui s’écoule) ou se bloque dans les sinus.
- Douleur : expression d’une colère, souvent avec la nécessité d’affirmer sa personnalité, de défendre sa position ou ses idées, d’avoir à « faire front ». Ou situation où l’on a du mal à affirmer son autorité, ou à faire face à l’autorité d’autrui.
- Difficulté à défendre ses positions et ses opinions.
- Irritation envers une personne proche.
- Irritation, frustration, crainte et insécurité.
- Refoulement de colère, de fureur ou de chagrin.
- Sentiments profonds de culpabilité et de tristesse venant du passé.
- Tentative de tenir les gens à distance.
- Ignorance de comment résoudre les situations difficiles.
- Analyse à outrance, épuisement et dispersion dans trop de directions.
Niveau cellulaire :
- Conflit de puanteur : « l’affaire sent mauvais », au propre et au figuré, « ça pue au nez ».
- Puer en latin signifie « enfant » : problématique autour de l’enfant.
- Conflit de peur frontale (sinus) et olfactive.
- Peur d’une menace vague, dissimulée, latente, sans qu’on puisse bien comprendre ou prévoir : « ça sent mauvais pour moi ».
- Conflit dans ou à propos d’un contexte hiérarchisé de ceux, soumis, qui manquent d’informations, subissent et flairent le vent par rapport à ceux qui savent et décident à leur gré.
- Peur-appréhension pour quelqu’un qui se trouve à côté de soi.
Références
Dr Philippe Dransart, Christian Flèche, Louise Hay, Inna Segal.